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COMMUNIQUÉ DE PRESSE - MARIQUITA - Vendredi 11 septembre 2020
 

 

LES PAVILLONS FRANÇAIS ET BRETON FLOTTENT DÉSORMAIS SUR MARIQUITA

 

109 ans, c’est l’âge de cette vieille dame sublime, l’un des plus beaux yachts classiques au monde qui battait pavillon britannique jusqu’à ce jour. Racheté par un citoyen français, Benoit Couturier, Mariquita arbore dorénavant les pavillons français et breton dans le port de Brest depuis hier, jeudi 10 septembre.


Photos téléchargeables pour la presse dans le bas de ce communiqué


 

MARIQUITA . Arrivée à Brest : MARIQUITA . Arrivée à Brest © Michel Le Coz Mariquita a eu plusieurs vies, après avoir été construit en 1911 par l’architecte écossais William Fife III pour le capitaine A.K. Stothert.  Dans les années 30, ce côtre de 38 mètres, est utlisé comme habitation, bateau de croisière puis est abandonné pendant près de 60 ans. Retrouvé dans une vasière, il reprend vie grâce à Albert Obrist, collectionneur emblématique de Ferrari, qui le restaure dans son chantier naval. Depuis 15 ans, Mariquita, qui signifie Coccinelle en espagnol, a couru tour à tour les régates en méditerranée et en Grande-Bretagne.  

Son nouveau propriétaire a souhaité le confier dans les mains d’un chantier de référence, le Chantier du Guip, à Brest, pour lui apporter quelques modifications.

Loin des clichés de propriétaires de grands yachts, Benoît Couturier souhaite créer une dynamique autour du yachting classique à Brest. Ce bateau construit pour courir des courses sera le point central de futurs projets.

MARIQUITA . Arrivée à Brest : MARIQUITA . Arrivée à Brest © ©Kaori Benoit Couturier : « J’aime les choses rares et belles. Je suis un collectionneur de voitures. Lorsque j’ai vu ce bateau sans acquéreur, j’ai été révolté et ai eu envie d’en faire quelque-chose.

C’est une aventure que j’entame avec des bretons parce qu’en général,  les bateaux classiques sont tous voués à aller en Méditerranée et je trouve qu’il faut faire autrement. J’ai acheté le bateau, l’ai ramené ici pour construire un projet sur la côte atlantique. Je ne sais pas skipper un bateau. Je ne suis pas monté à bord à son arrivée à Brest mais j’ai profité de l’admirer depuis la mer. Voir tous ces équipiers à bord qui avaient cet enthousiasme, ça me réjouit. 
Et, quand on a un bateau, il faut s’appuyer sur un chantier, faire que le bateau soit parfait. Alors je suis heureux d’être ici. Le chantier du Guip a les compétences et le savoir-faire pour m’accompagner dans la restauration du bateau. Quinze jeunes charpentiers vont pouvoir être formés en intervenant sur Mariquita.


On achète un bateau de course c’est pour avoir un projet, pour qu’il vive ! Je vais m’entourer d’un équipage pour faire marcher le bateau et participer à des régates.  La Fife regatta en Écosse sera, je l’espère, notre prochaine course. Puis l’objectif sera de faire des courses en rade de Brest, le plan d’eau est beau, pourquoi pas les voiles de Brest et faire venir des yachts classiques de Grande-Bretagne ? Ce bateau est fait pour partager un projet, créer un élan et en faire profiter cette région magnifique. »

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